Ma Douce, mon Bébé, je veux Te parler, CUR à CUR.
Au risque d'aimer, au risque d'y croire, au risque de VIVRE :
Ne Te laisse pas impressionner par l'apparente méchanceté de certains êtres, qui, au fond, sont des enfants blessés, des animaux meurtris, des vivants dans la souffrance.
Si Tu opposes à la pente normale qui nous pousse à devenirs durs face aux duretés, sévère devant l'agression :
La Totale Volonté d'Aimer, malgré tout :
Tu prends le bon Chemin.
Au fond, c'est l'Innocence qui préexiste et demeure.
Les actes abjects, vils, mauvais sont commis sous la pression du sentiment que peuvent avoir certains êtres, à un moment donné, dans des circonstances multifactorielles, de n'être pas aimés.
Aussi, mon Ami de CUR, Toi, reste propre et sain, sans T, car ce fameux T en a fait, du mal, de par l'Univers.
Demande à l'église de Rome, qui, bafouant l'enseignement évangélique et les valeurs humaines, sombre trop souvent dans le vice et le rejet des malheureux, alors qu'elle n'en a absolument pas le Droit.
Demande aux intégristes de tout poil, meurtriers et manipulateurs, quoi de pire que les fous de la mort ?
Un chien mordeur, un garçonnet brutal, une femme pervertie, un homme assassin de la @Lumière, une Violence :
Le péché, c'est la Violence et rien d'autre, rien d'autre
Garde Ton CUR intègre et bats-Toi pour la Justice, uniquement.
Ne Te soucie pas de Ton Destin ; si Tu es né pour aider, Tu seras toujours le grand Vainqueur.
C'est : Vaincre et se Vaincre.
Pardonne, je T'en supplie, car la RANCUR détruit, appauvrissant la terre de Ton âme !
Je T'assure que c'est Vrai, y compris pour Toi-même.
Soutiens, contre vents et marées, contre les apparences, soutiens celle, celui qui vient à tomber, à souffrir, à mourir un peu.
Si la Nature semble un chaos, cela ne justifie pas du tout les viols et les violations, car Toi, Tu es un être Humain.
La Vie parle ainsi, du FTUS au Vieillard, Elle parle ainsi :
Ne me détruis jamais, toujours, protège-moi.
Ne porte pas le fer contre moi, car Tu es moi et je suis Toi.
Cherche à soigner, peut-être à Guérir, pas à blesser ni à blasphémer contre moi, en décidant à ma place.
J'habite la Terre et sans Ta planète si bleue, Tu disparaitrais, arrête, arrête de la faire suffoquer sous l'appât du gain qui brûle le ciel et désertifie les sols, évapore les glaciers et fera de Ton seul et unique Vaisseau spatial, GAYA, Ta planète, un Brasier de l'Enfer ; STOP !
Je suis la Vie et sans moi, Tu n'existerais même pas !
Si Tu laisses couler en Toi mes ruisseaux libres et féconds, mes énergies réparatrices, ma soif, ma Soif, ma SOIF d'être et que Tu SOIS
HEUREUX
Alors, Tu seras un Dieu, mon Fils, une Déesse, ma Fille
Je viendrai moi-même Te Régénérer, car en ces temps obscurs, il existe réellement un Risque définitif de dégénérescence de Toi en un monstre hideux, noirci, fini
Car DIEU, c'est l'AMOUR, uniquement, simplement, oh ! EXTASE d'être
au monde !
EXTASE d'être dans le LIEN.
Reste dans la Lignée, dans la Communion et pour cela, jette les armes, je T'en supplie
Ouvre Ton CUR à la caresse, à la Tendresse, à la Richesse de l'Autre.
Le Paradis, c'est les Autres.
Louis Polèse
tous droits réservés