Le Visage Aimant du Père

Posté le par Louis dans Récit et littérature


Le Visage aimant du Père.
Dans sa dernière caricature, en UNE, la bande à Charlie s'égare et se révèle, malgré toute notre compassion légitime et citoyenne d'il y a tout juste un an à leur égard.
Ce sont donc des extrémistes du grand Laïcat, des laïcards religieux qui traitent DIEU d'Assassin qui courrait toujours, armé d'une Kalach…
Je veux leur rappeler que le terme DIEU ne recouvre aucune réalité sémantique.
Quand Jésus évoque et invoque l'éternel, il l'appelle : Père.
Le vocable Dieu n'est qu'une déformation du mot Zeus.
Ceci posé, j'ai voulu Vous écrire du Père, justement, de la Paternité.
Il est un dogme qui court les rues et les pollue en Occident, qui brûle les esprits et fait des ravages affectifs :
Le rejet du Père.
Soit au nom du féminisme Hyper virulent (genre FEMEN),
(FEMEN.ORG asme),
Soit dans les divorces comme dol,
soit dans les livres nuls publiés et vendus à longueur de journaux écrits ou parlés,
, soit dans les arrière-pensées d'esprits chagrins, comme peau de chagrin :
Je constate une régression psychique :
Le meurtre du Père par la horde,
, à la Freud,
La calomnie du Père, qui serait l'empêcheur de l'émancipation des filles, des peuples, des idéaux de la Liberté.
Au nom du Père, écrivait Lacan.
Regardez ces Papas au sommet des grues, ces Papas suicidaires, entraînant parfois leurs enfants dans la tragédie, suite à des non-présentations d'enfants par la Mère, sans que cette dernière ne soit jamais vraiment inquiétée.
ABBA, PAPA, c'est le nom du Père :
Linga en hindouisme, Yang comme principe en Chine, Allah en islam, Yahvé pour les Israélites.
La bande à Charlie va trop loin, non dans la liberté d'expression, en termes de presse, mais dans la bêtise pure, rien de plus.
C'est accablant et aura des conséquences plus que terribles, à la longue.
Mais ça rapporte du fric, manifestement, de la notoriété facile à un certain urgentiste, entre autres : P. P.
Aucun terrorisme n'est justifiable, évidemment : tuer froidement est acte de sociopathe dégénéré.
Mais, arrête, Charlie, arrête !
Cette Divinité caricaturée par le crayon perçue par ces incendiaires comme un Assassin, dont les hommes et femmes de main exécuteraient les basses œuvres est une vision de personnes dépourvues de culture et qui confondent une opinion ultra minoritaire avec leurs fantasmes déviants :
Je sais que le blasphème n'est pas un délit en Europe, en général, n'en demeure pas moins qu'il porte en lui-même la mort.
De par le monde, la plupart des gens qui sont pour la concorde et le respect ont décrié ce dessin (peut-être ce dessein)
ridicule et qui veut mettre le feu aux poudres, une fois encore, une fois de trop.
Nous n'avons pas besoin de division, de diviseurs parisianistes, ni en journalisme, ni en politique :
Car c'est alors la guerre civile, si vile et c'est déjà la guerre tout court.
Cracher le noir venin, en permanence, sur les figures paternelles tutélaires n'apportent rien, que le vide intérieur in fine.
Personne ne songe, je l'espère, à esclavagisé la Femme ni à la réduire à portion congrue : certes non.
Il n'y a aucune offense contre la Mère, à parler du Père et de son rôle protecteur.
Quand vient la nuit, l'enfant pense à son Papa, qui dort non loin de lui :
Un sourire naît sur son petit visage, la Confiance de son coeur d'enfant, qui peut se sentir en danger et a tant besoin de force et de stabilité.
Non, je ne parle nullement avec nostalgie, je ne suis ni médiéval ni féodal :
Je dis le VRAI de la VIE et de l'AMOUR.
Je parle du BONHEUR qui est d'abord RESPECT, quel que soit le genre ou le type de famille ou les sexes des parents.
N'est qu'à voir le peu de cas fait à notre bon Joseph, père adoptant et éduquant du Christ, dans les crèches et les prêches.
Le reniement du Père est une mode affreuse et sans avenir.
Je songe à Toi, mon tout-petit, à ton besoin de sécurité :
Tu aimes ta Maman de toute ton âme en construction, mais tu as Besoin, un besoin vital et définitif de ton Papa aussi.
Je propose la Pacification des esprits et que soit tarie l'hystérie médiatique qui nous abreuve d'horreurs et de ressassements de l'horreur :
Témoins qui… policiers qui… atrocités montrées et reremontrées,
j'ose l'écrire : exhibées par une journalie valétudinaire ou cacochyme
En mal d'informations valables et constructives.
Je propose la Paix, la main tendue aux quartiers et parfois aux zones de non-Droit, par l'éducation et la mutuelle compréhension sur fond d'une politique familiale favorisante.
Un dernier exemple pour me mieux faire comprendre :
L'histoire récurrente de la non-consommation de viande de porc par la grande Famille musulmane :
Je note que la journalie acoquinée à deux balles ne rappelle jamais que les Juifs non plus n'en consomment pas ;
Je note que les personnes de confession juive, avec qui je vis et que j'aime, ont pour certaines affirmé mordicus devoir retourner en Israël  pour se mettre à l'abri de la barbarie :
Il ne s'est trouvé aucun journaleux pour leur rétorquer que s'il existe un pays dangereux, au quotidien, c'est bel et bien Israël.
Deux poids, deux mesures :
Mais si ces ânes bâtés connaissaient un millième du Coran, ces caricaturistes du passé et de l'inculture :
Ils sauraient que le christianisme et le judaïsme tiennent dans le Livre Saint de ‘l'Islam une place de première ordre : Essentielle !
. Sans rien voir, sans rien savoir, les médias ont désenchanté la vie, traîné la classe politique dans la boue (je ne parle pas ici des escrocs bien connus de ce milieu) :
Pourtant, les journalistes et un certain personnel politique déclinant et souvent corrompu :
sont consanguins, cons sanguins, mais pas du tout du tout sans gains.…
Réhabilitons la Figure du Père, l'Occident décadent ne représente pas grand-chose sur la carte du monde et de moins en moins, de par sa faute, de par des équipes du genre de la bande à Charlie.
Avec Confucius et Bouddha :
Je VOUS propose l'équilibre,
non le juste milieu, mais le MILIEU JUSTE.

Louis Polèse
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